Messages : 347 Date d'inscription : 27/06/2024 Age : 24
Sujet: Cruella d'Enfer Sam 24 Aoû 2024 - 17:56
Paroles : Perdita Pongo Roger Anita Cruella d'Enfer
[- Oh Pongo, si c'est elle. Oh, c'est cette femme diabolique. - Oh, c'est sûrement Cruella. Ta chère compagne de classe, Cruella d'Enfer. C'est ça.]
Cruelle diablesse Cruelle diablesse Elle jette tant de sorts A toute la ville [Oh, Roger.] Chacun a le frisson dès qu'il la voit Cruelle Cruelle
Elle semble une araignée guettant sa proie [Roger, si elle t'entendait.] Cruelle Cruelle Diablesse
[- Ouvrez-lui, Nani. - Anita, chérie. - Comment vas-tu ? - Oh mal, très mal, chérie. Je suis, comme d'habitude, démoralisée. Où sont-ils ? Où sont-ils ? Où sont-ils, pour l'amour du ciel ? - Mais Cruella, qui ça ? - Les bébés chiens. Les bébés chiens. Je ne suis pas venue ici pour rien. Où sont les chiots ? - Oh, il y en a bien encore pour trois semaines. Ces choses-là ne se font pas sur commande. - *rire* Anita, toujours aussi fine. *rire* Oh, ici chien, ici. - *grogne* - Ici chien ! - *continue de grogner* - Euh... Cruella, tu as un nouveau manteau de fourrure ? - Ow, ma seule et unique passion. J'adore les belles fourrures. Je n'aime que ça au monde. Aaaaah... Quelle femme dans cette vallée de larmes pourrait ne pas aimer les fourrures, chérie ? - Oh... Je serais contente d'en avoir mais il y a tellement d'autres choses. - Modeste et charmante Anita. *rire* Je sais. Je sais que malgré sa laideur, cette maison est, à tes yeux, un palais. *rire* Et que, pour toi, Roger est un prince des Mille et Une Nuit. *rire* - Oh, Cruella... - Oh, tu as heureusement tes amis tachetés pour compenser. Hum hum... Oui, oui. J'avoue qu'ils ont un pelage absolument magnifique. - Veux-tu une tasse de thé, Cruella ? - Oh, je suis navrée, chérie, mais je n'ai pas le temps. Dis-moi, quand les chiots seront nés, tu me préviendras, n'est-ce pas ? - Oui, Cruella. - Oh, n'oublie pas, c'est une promesse. Alors, je te dis à bientôt. Dans trois semaines. Au revoir, chérie.]
D'abord, on prend Cruelle pour un diable Et puis, après avoir reçu le choc Soudain on s'aperçoit Qu'elle est là, devant soi Vous guettant, suspendue sous un roc [Allons, Roger.]
Comme un vampire *aboie* Qui vous fait frémir *aboie* *aboie* Il faut qu'on l'enferme Dans une cage de fer *aboie* Je n'en connais pas qui soit plus perverse *aboie* *aboie* *aboie* *aboie* Que cette Cruelle Diablesse